Pour être en parfaite communion avec la nature, j’a choisi de tester la rondo-yoga, c’est un sport assez peu connu finalement qui permet d’être en totale armorie avec la terre, l’air, l’eau, etc.
Un peu comme pour le yoga basique, la Brando yoga permet d’apprendre à écouter son corps, à lutter contre le stress, l’anxiété, à apprendre à respirer, etc. Marcher en montagne ou dans d’autres coins de nature tout en pratiquant le yoga permet un complet développement du corps et de l’esprit, si en plus vous choisissez d’en faire une pratique régulière alors c’est encore mieux.
Pour bien commencer une seance de rando yoga on commence toujours pas pratiquer quelques postules, comme au yoga, qui vont nous permettre de nous échauffer et de nos étirer avant d’attaquer la marche. C’est un moyen aussi très doux d’apprécier les paysages environnant. Mais on ne fera pas que marcher, tout au long de la seance on va pouvoir pratiquer le yoga sur de belles plaines, au bord du ruisseaux, face à la montagne, etc. Une activité plus qu’agréable !
S’en suit ensuite des activités de respiration qui vont permettre d’apprendre à gérer son cardio et à respirer l’air pur de la nature à pleins poumons. Toujours pour entrer en communion avec l’environnement sain qui nous entoure, quelques exercices de relaxation qui font beaucoup de bien permettent aussi d’écouter les bruits de la nature : les arbres, le vent, l’eau, les animaux, les feuillages, etc.
Et pour terminer, la méditation, ce moment où on ne pense plus à rien et où l’on se concentre sur son « moi intérieur ». C’est à ce moment précis que l’on s’écoute, tout en contemplant le paysage offert par mère nature. Malheureusement, je ne peux pas me mettre à la rando-yoga, j’ai testé cette pratique pendant mes vacances à la montagne. En revanche depuis je me suis mise au yoga, et je me sens vraiment mieux dans mon corps. D’après ce site, le yoga permet de retrouver ou garder une bonne condition physique, de lutter contre les maladies cardiovasculaires, le stress, la depression, l’insomnie, etc. Et j’avoue que depuis que je m’y suis mise je ne peux pas dire que ce n’est pas vrai.